Cent heures d'enfance
Nez nu phare,
Des mains de mère dans mes cheveux, mes joues mon dos, des matins pressés d'écoliers,
pupitre de bois, encrier ouvert, pleins et déliésNez faste, taches sur les accords oubliés du participe passé,
Nez Gosse, découpages sages de jeudis pluvieux
Aux Nez... bouchés.
.
Art homme, marc de café,
traçant mille et une nuits, odeurs et gouts mêlés. L'art d'être grand-père.
Nez bulleux vertiges de printemps... L'art d'être grand-mère.
Nez Jeu, perdue dans un grenier, lire les yeux fermés le temps passé
Nez faste, adolescence et liberté capitale.
Nez Sens, donner la vie, et s'y blottir ensemble.
Et Sens Elle !
"ça sent maman".
Disent mes Mustela
Beau sujet, que celui-ci et si bien évoqué dans Mémoire Vive !
Si beau sujet qu'il s'invite sur les deux blogs.
A vos fragrances d'enfance !
Y'en a des qui sont déjà dans mon nez... mais tiens..Je vais aller en chercher d'autres va voir sur l'almanach dans un moment...
RépondreSupprimerKiss
P
Un joli sujet qui dégage toutes sortes de fragrances et fait remonter des souvenirs ...
RépondreSupprimerJoyeuses fêtes Lulu et bises
Magnifique Lulu , tu mérites une bonne friction à la Cologne ...
RépondreSupprimerMerci de nous replonger dans nos souvenirs d'enfance et +
Bises de Louise
Oh Lulu, j'adore ces parfums que tu évoques... l'encre, le Vicks, la colle surtout.
RépondreSupprimerGROS BECS.
Elle marche bien ma pommade Vicks ;-)
RépondreSupprimerMarité, je n'ai pas retrouvé la photo de ma poupée, va falloir que je retourne la chercher chez ma mère !
Ah lala, l'odeur de l'eau de cologne. Ma mère s'en servait pour nous frictionner les jambes quand nous nous plaignions d'avoir mal parce que nous grandissions...
RépondreSupprimerQuel beau sujet !!!
des bises
tiens... ici aussi, j'ai à peu près tout testé et gardé Shalimar !
RépondreSupprimeren passant ici
Bravo ! Votre post "cent heures d'enfance"(vu seulement aujourd'hui) est très très beau, très original, très poétique, tout y est émotion, j'ai adoré...
RépondreSupprimerMerci beaucoup Danielle !
RépondreSupprimerBonjour Lulu Sorcière, j'aimerais avoir votre plume sur ce sujet qui m'interpelle...,Merci pour le temps passé sur ce sujet ! Sissi.
RépondreSupprimerCommentez en quelques lignes, de manière simple et spontanée, la phrase suivante : « Si je ne compris pas la Sonate je
fus ravi d’entendre jouer Mme Swann. Son toucher me paraissait, comme son peignoir, comme le parfum de son escalier, comme
ses manteaux, comme ses chrysanthèmes, faire partie d’un tout individuel et mystérieux, dans un monde infiniment supérieur à
celui où la raison peut analyser le talent. » Marcel Proust — À l’ombre des jeunes filles en fleur
Merci pour votre visite et cet encouragement que je savoure comme une madeleine ;-)
RépondreSupprimer