Accéder au contenu principal

Un iris de plus au bouquet !


Un iris de plus au bouquet d'Annick et d'Odile !
Les iris fleurs aux mille nuances... Voici mes iris noirs Annick, légèrement différents des tiens. Cette année, leur floraison a été généreuse, mais ils ont mis un temps fou à démarrer.
Les iris étaient les fleurs préférées de ma grand-mère, et je m'étonnais qu'elle les aime. Petite, je les trouvais trop hautes, et elle me faisaient peur...
Ce sont les premières fleurs que j'ai installées dans mon jardin ;-)
Moi, ma Grand-mère et  les haricots verts, ça c'est d'la belle enfance...

Grâce à vos commentaires on aura peut-être ...Un p'tit plus pour le tout !

Commentaires

  1. Oh mince, je ne les vois pas moi, les iris. Je retenterai demain.
    Mais la photo avec ta grand-mère, quelle émotion ! Tu étais très coquette avec ton fichu sur la tête ;-)
    Chez moi j'en ai planté quelques uns, dans le mini jardin, mais il n'y a que les feuilles, donc je patienterai encore pour en connaître la couleur !
    Bonne nuit Lulu.

    RépondreSupprimer
  2. Moi non plus, je ne vois pas les iris. Tu es très mimi avec ta grand mère. Je trouve que le mélange de génération est très important. Les haricots verts me rappellent également mon enfance. Mes filles adorent aller dans le potager avec ma mère, elles ont d'ailleurs un petit coin pour faire pousser leurs salades et leurs haricots!
    Bises et bonne nuit.
    Valérie

    RépondreSupprimer
  3. Voilà ! Normalement la photo apparait.
    Si quelqu'un peut m'expliquer pourquoi de temps en temps lorsque je clique sur la fonction "blog it" de Picasa, ma photo qui semble avoir été chargée, puisque je la vois sur le billet, n'apparait pas sur la toile, ben ça fera un mystère de moins pour ma modeste humanité ;-)
    Lulu qui part en bougonnant vers un second café...

    RépondreSupprimer
  4. Ah ça y est je la vois ! Il est magnifique cet iris, d'une couleur encore différente de ceux d'Annick. Ce sont ces tonalités que je préfère, même si j'ai bien aimé voir la diversité de ceux d'Auvers... j'en reviens aux fondamentaux ;-)) avec les jaunes, en couleur complémentaire...

    Je ne peux pas te dire pour blog it, j'utilise Picasa, mais pas cette fonction. Une fois que j'ai réalisé mes montages, je vais les chercher dans le dossier "picasa" qui a été créé sur mon ordi. Et je n'ai pas de problème.
    Bise et bonne journée à tous.

    RépondreSupprimer
  5. Il est magnifique cet iris Lulu mais à ce que je vois tu en as également de très beaux devant ta porte vitrée, à l'arrière plan de la photo. Je n'ai pas encore d'iris à la maison mais avec toutes ces couleurs magnifiques que je vois sur ton blog, celui d'Odile et celui d'Annick, il n'y a que l'embarras du choix. A quelle saison peut on les planter?(probabalement au printemps) mais il faut que je fasse des recherches. Bises et bon caf.
    Valérie

    RépondreSupprimer
  6. Merci Odile, j'ai un peu de mal avec Picasa, surtout au niveau du poids des photos. J'aime bien travailler les photos avec ce logiciel, les charger dans les albums web permet de les réduire à la taille voulue, mais sur l'ordi les montages ne sont pas réduits en poids il me semble non ? Et je ne sais pas comment faire pour les alléger sans repasser par photofiltre.
    Je ne suis pas sure d'être très très claire là...

    Valérie, les iris se plantent en Aout, il faut les laisser faner tranquillement et ensuite on peut les séparer et les planter. De toutes façons les iris sont sympa, c'est bien rare de rater leur plantation même à un autre moment de l'année, sauf si tu les arrose trop. Je t'en mettrai de coté.

    RépondreSupprimer
  7. Merci Lulu. L'arrosage et moi, ça fait deux c'est pour cela qu'à la maison, j'ai des plantes qui n'aiment pas trop être arrosées.
    Bises
    Valérie

    RépondreSupprimer
  8. J'aime beaucoup les iris, mais j'attend pour en orner mes alentours d'avoir réussi à cantonnerles biquettes quelque part ! :)
    Très émouvante, ta photo d'enfance.....

    RépondreSupprimer
  9. Je crois qu'on en a déjà parlé, je vais me répéter sans doute ;-) (mais non je ne radote pas). Il est rare de trouver un logiciel qui fasse TOUT. C'est pourquoi, quand je veux réduire une photo, je passe par FSviewer (gratuit aussi). Mais parfois je choisis de laisser un format un peu grand pour que les lecteurs puissent voir les montages en plus grand... Ca ne me parait pas trop long à télécharger, en tout cas avec la formule que j'ai choisie, c'est à dire directement sur blogger. Bises.

    RépondreSupprimer
  10. très bel iris noir là aussi... c'est une teinte que j'apprécie beaucoup et là, avec le soleil en transparence, c'est délicat du coup ...
    C'est vrai que je suis bien contente car "ils" ont bien pris ... je n'arrose pas trop car je n'y pense pas vu qu'ils sont devant la maison. Ils se sont bien étoffés cette année et je vais maintenant suivre les conseils de Brigitte : couper la tige puisque tout est défleuri... ensuite s'il faut les dédoubler je lui demanderai quand et comment?

    tu est toute petite sur cette photo? à peine deux ans, non ? heureux souvenir immortalisé, c'est précieux ! je n'ai pas eu de grand'mères, ni de grand'pères d'ailleurs et cela m'a manqué quand j'étais toute petite... j'en voulais une qui m'apprenne à tricoter et à coudre des habits pour ma poupée ...
    bises

    RépondreSupprimer
  11. Un côté sorcière dans cette magnifique fleur !!!Super .

    RépondreSupprimer
  12. Superbe ton iris de cette couleur. Et la photo avec ta grand mère est touchante, car c'était une vraie famille qui s'occuper des préparations pour les hivers. Nos grands parents étaient très proches de nous. Bonne fin de journée ma Lulu et Bises

    RépondreSupprimer
  13. Velouté, sombre et somptueux ton iris... Mais non Lulu, je ne parle pas de ton oeil !!
    Quelle émotion la photo avec mamie, c'est trop craquant ce petit foulard et ce bout de femme qui est si bien avec sa grand-mère !

    RépondreSupprimer
  14. Ah cette grand-mère, ce n'était pas une "mamie" comme on en fait maintenant, c'était ma "mémé" ça se voit n'est-ce-pas ?
    Je dois avoir à peine deux ans sur cette photo en effet, j'ai eu la chance de grandir à temps plein avec elle jusqu'à 5ans, elle m'emmenait aux champs, au lavoir, au marché et presque jamais... à l'école ! Nous bifurquions toujours pour prendre le chemin des bonbons (on ne le disait jamais à maman) et elle grillait tout l'monde à la queue, rigolant avec les commerçants dans un charabia franco-espagnol savoureux. J'étais trop fière d'elle en machouillant mon carambar !
    Elle tricotait en coinçant son aiguille entre son bras et sa si grosse poitrine, j'adorais la voir faire.

    Et elle aimait lire.... toutes les semaines elle allait s'acheter "Nous Deux" et là fini les haricots verts, la vaisselle, la lessive, la tambouille, il fallait la laisser lire... et elle me le prêtait quand elle avait terminé ;-)
    Le matin, elle préparait la gamelle du grand-père qui finissait l’omelette aux patates de son p’tit déj avec son verre de préfontaines, et je rêvais d’être maçon sur les chantiers pour avoir le droit d’avoir une gamelle comme ça, pleine de ragout !
    Elle me racontait l'Espagne, l'exil, les camps en espagnol et je lui répondais en français, je pourrais écrire des pages et des pages sur elle...
    Après ma p'tite maman, c'est la femme de ma vie…

    J'vais faire une omelette aux patates ce soir tiens !

    RépondreSupprimer
  15. Voilà une enfance pleine de richesses , mais surtout une enfance faite avec des choses simples de la vie . Sacrée Lulu , ton récit m'a replongé quelques dizaines d'années en arrière , bon, sans grand-mère , mais avec d'autres souvenirs aussi forts . A vos plumes sergent-major !!!!

    RépondreSupprimer
  16. Les deux photos sont somptueuses, le violet incroyable de l'iris, le moment inoubliable des haricots dans un seau... qu'elle est mignonne la petite avec son foulard, la main tendue à jeter les haricots...

    RépondreSupprimer
  17. Quelle couleur cet iris !! magnifique.

    A travers la description de ta grand-mère, on peut imaginer la complicité qu'il y avait entre vous. Très émouvant, je trouve.

    bises
    corinne

    RépondreSupprimer
  18. Tes iris sont beaux. Ta cour est un modèle de romantisme, comme il doit faire bon à lire assise sur le banc en comptant les heures qu'égrenne l'horloge de l'église voisine. Les grands pères et les grands mères sont des trésors. D'ailleurs je préfère et de loin être grand-mère plutôt que mère, la relation est tellement différente, le temps qui passe nous fait prendre conscience de la relation privilégiée mais aussi comptée avec les petits enfants. Quant à moi je n'ai connu aucun de mes quatres grands-parents, le dernier mon grand-père paternel est mort en 1946 et je suis née en 50. Je n'ai même pas de photo excepté pour mon grand-père maternel. Bonne journée à vous toutes et gros bisous.
    Auriez-vous vu passer un jeune homme qui s'appelle Printemps ?

    RépondreSupprimer
  19. Je n'ai qu'une hâte c'est de devenir comme ta chère grand mère. Foi de nouvelle mamie!!!!!!!
    Tes iris sont superbes!
    A bientôt

    RépondreSupprimer
  20. Ah oui cela se voit ,Lulu que c'était Ta Mémé ,elle est très touchante cette photo.
    Et ton iris est somptueux ,le soleil réveille sa douce teinte violette ...Et s'il semble aussi noir que celui d'Annick ,les nuances diffèrent .Le sien va davantage vers le marine ,c'est en bouton ,comme le tien, qu'il semble noir
    Moi j'en ai des jaunes poussins, bleus comme le ciel et bleus tigrés que j'apprécie tout particulièrement .
    La plantation se fait bien en Août ,un peu d'eau au départ ,ensuite la plante se débrouille toute seule .
    Bonne soirée

    RépondreSupprimer
  21. Bien attendrissant ton billet Lulu.

    Quelle présence nos grand-mères, nos mères, que de souvenirs, oui, et les cueillettes, les confitures...

    Bon week-end

    RépondreSupprimer
  22. Il y a quelque chose d'extraordinaire dans l'éblouissement vécu de petits riens de la vie. Notre époque nous fait courir après l'évènement, il faut épater son conjoint, ses enfants, ses copains, son patron, ses copines... et finalement la petite fille que j'étais regardait sa grand-mère tricoter, l'aiguille traçant un sillon profond dans la douceur élastique d'un sein couvert d'une vieille blouse, le petit bruit régulier des aiguilles et le chemin tortueux de la laine glissant sur les doigts, un vieux corset noué serré le matin, le chemin de l'école buissonnière,des mains ridées qui enduisaient mon thorax maigre de pommade Vicks, ma tête qui s'enfonçait dans l'oreiller à l'approche des cataplasmes et toutes ces premières gorgées d'enfance inoubliables qui font l'art d'être grand-parent.
    C'est incroyablement rassurant, et à voir certains petits enfants pourtant si hyperactifs ou hyperbranchées avec leurs grand-parents c'est encore possible.
    On ne faisait rien de particulier, et c'était mieux que tout.

    RépondreSupprimer
  23. OOoooooh cet iris (un barbe bleue on dirait ?!)!!! cette photo !!!! enfin, ce duo !!!
    Et le temps des haricots ! ça n'en sera jamais la fin, ils sont au rayon "éternel" dans mes souvenirs aussi ;-)

    RépondreSupprimer
  24. les iris nos grands mères s'en servaient de parfum....te souviens tu du parfum discret de ta grand mère. la mienne sentait l'iris...c'était de toute façon des parfum fleuris, lavande, muguet, rose, violette....

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

C'est la Saint Valentin !

Bonne fête aux amoureux ! Qui a dit ? L'amour c'est comme au restaurant, dès qu'on est servi on regarde dans l'assiette de l'autre Sacha Guitry bien sur ! On est au troisième siècle après JC, Claude 2 médaille d'or des tyrans, peine à recruter de la chair à canon, les p'tits gars de la troupe préfèrent manifestement rester auprès de leur belle. On ne badine pas avec la guerre, Claude interdit le mariage. Mais dans le secret Valentin le prêtre continue à célébrer les unions, il sera arrêté et bien sur exécuté ! Même les tyrans sont mortels, Claude laissera la place et Valentin sera canonisé et les amoureux pourront s'envoyer.... des flêches tranquilles ! Autre version classée X : Au temps de fêtes païennes, on organisait un p'tit marathon sado-maso, les courses de Luparques, on se courait après tout nu, on fouettait les filles et on se servait l'amoureuse de son choix. Les autorités chrétiennes de l'époque ont souhaité faire un

Journée mondiale du Rangement de Bureau. Echo à la Gazette !

ça tombe bien, il est bien rangé ! Tout ce qui est dessus est indispensable : Le bloc indispensable le bloc, c'est le troisième écran, le support sur lequel "j'imprime" le mieux Deux écrans : ça c'est nouveau et c'est pratique, bon ici ça rame un peu de temps en temps... Pas de chat, mais une souris. La radio, je l'éteins maintenant sinon je me perds. Le bouddha, celui de l'amour et aucun autre. Le canard d'hier, Lulu s'la pète dans Centre Presse. Les vieux bouquins, sans quoi je suis peu de chose. Les binocles, sans quoi je ne suis plus rien. L'étagère à coté, avec mes indispensables. Le classeur commercial, gris, pas de fantaisie. Le café, forcément. Le p'tit tabouret pour les pieds, enfin pour les jambes. Un bon fauteuil, moderne hélas mais confortable. Allez je m'y remets... Et chez vous le bureau ?  Grâce à vos commentaires on aura peut-être ...Un p'tit plus pour le tout !

La moustache - Maupassant 1883.

Si, comme moi, vous aimez Maupassant, écoutez France Culture  cette semaine et vous comprendrez mieux pourquoi. Maupassant les contes grivois par Eric Bordas Aujourd'hui Maupassant fait parler une fille :  la Moustache de l'érotique à l'identité française... Ma chère Lucie, rien de nouveau. Nous vivons dans le salon en regardant tomber la pluie. On ne peut guère sortir par ces temps affreux; alors nous jouons la comédie. Qu'elles sont bêtes, ô ma chérie, les pièces de salon du répertoire actuel. Tout y est forcé, grossier, lourd. Les plaisanteries portent à la façon des boulets de canon, en cassant tout. Pas d'esprit, pas de naturel, pas de bonne humeur, aucune élégance. Ces hommes de lettres, vraiment, ne savent rien du monde. Ils ignorent tout à fait comment on pense et comment on parle chez nous. Je leur permettrais parfaitement de mépriser nos usages, nos conventions et nos manières, mais je ne leur permets point de ne les pas connaître. Pour être fin