Accéder au contenu principal

Boite à couture.




Boite à couture fabriquée maison à partir d'une boite à peintures.





Brodée sur du lin bis, la grille Art Déco est de Cartier-Bresson (les parents du fameux photographe faisaient dans les p'tits points depuis 1824).




Ouvrage rembourré avec un peu de molleton et fixé sur les bords de la boite avec des agrafes et un p'tit galon collé pour la finition.








Et à l'intérieur, un bric à brac de vieux ciseaux, de vieux dés, de vieux fils, de vieux ouvrages de sorcière....

Pour fabriquer le support à dés, aiguilles et ciseaux, j'ai utilisé de la mousse pour bouquets que j'ai renforcée coté ciseaux avec du carton ondulé tout simplement. ça commence à faire longtemps que ça "tient".






Je ne brode plus, mais elle est malgré tout très utile ;-)







Pub !

Les Boites à couture ont leur blog, un joli blog très éclectique comme je les aime.







Grâce à vos commentaires on aura peut-être ...Un p'tit plus pour le tout !

Commentaires

  1. Ca alors, j'en reviens pas, c'est toi qui as fait ça. Elle est somptueuse cette boîte vraiment, un petit trésor, félicitations à toi, pourquoi ne brodes-tu plus ? Moi le point de croix j'adore l'été sous mon arbre je passe des après-midi fabuleux en brodant et en écoutant France Inter.
    Joli pont du 8 mai....

    RépondreSupprimer
  2. J'ai oublié de te dire, j'ai fais un broyé avec 250 g de farine, 125 g de sucre, 125 g de beurre, 1 oeuf, c'était succulent, ma voisine et sa fille ont bien aimé. Merci pour la recette.

    RépondreSupprimer
  3. Merci Canotte ;-) C'est tout simple à faire et très pratique et solide. Je vais mettre la grille en ligne.
    J'ai passé de longs moments de sérénité sous mon pommier avec mon ouvrage et avec... France Inter ;-)
    L'été 2005, j'ai pris une pomme/tuile sur la tête, et j'ai laché mon aiguille. ça s'est arrangé, mais comme j'avais pas changé mes lunettes, ben j'ai tricoté ;-/
    Je vais essayer de m'y remettre... sous mon pommier à broder !
    Je suis contente que le broyé fasse des heureux !
    Bises et bon WE !

    RépondreSupprimer
  4. Très jolie boîte ! Pour nous le broyé, ce sera demain... J'en ai l'eau à la bouche et je trouve que ça sent déjà bon ;-)

    RépondreSupprimer
  5. beh moi, du coup, qui suis en pleine folie de tarte aux fraises (meuh non, chuis pas enceinte!) ça me donne envie de tester mon "nouveau" moule à broyé à présent que je sais que c'en est un, juste histoire de voir s'il est meilleur là-dedans.
    On testera ça ce w-e
    Nadine

    RépondreSupprimer
  6. Nadine, il sera "forcément" meilleur et maison il est sans comparaison avec ceux que l'on achète dans le commerce ! Les parisiens ne peuvent pas savoir, on n'en trouve pas à la capitale il me semble.

    RépondreSupprimer
  7. Pour les envieuses de fraises, il faut aller faire un p'tit tour chez Marie France qui nous a mijoté des tartelettes, je vous dis qu'ça !
    http://www.unecuillereepourpapa.com/

    RépondreSupprimer
  8. c'est qui la petite Bleue sur la boîte à couture, elle ressemble beaucoup à D-Lys?
    Nadine

    RépondreSupprimer
  9. je suis allée sur le site de Marie France (une Vendéenne en plus !!) , c'est une horreur... ça m'a donné envie d'arrêter de travailler pour surfer toute la matinée sur la toile, d'en dénicher tous les bons plans, de me mettre au jardinage,et de faire la cuisine toute l'après-midi
    c'est malin !
    Nadine

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Journée mondiale du Rangement de Bureau. Echo à la Gazette !

ça tombe bien, il est bien rangé ! Tout ce qui est dessus est indispensable : Le bloc indispensable le bloc, c'est le troisième écran, le support sur lequel "j'imprime" le mieux Deux écrans : ça c'est nouveau et c'est pratique, bon ici ça rame un peu de temps en temps... Pas de chat, mais une souris. La radio, je l'éteins maintenant sinon je me perds. Le bouddha, celui de l'amour et aucun autre. Le canard d'hier, Lulu s'la pète dans Centre Presse. Les vieux bouquins, sans quoi je suis peu de chose. Les binocles, sans quoi je ne suis plus rien. L'étagère à coté, avec mes indispensables. Le classeur commercial, gris, pas de fantaisie. Le café, forcément. Le p'tit tabouret pour les pieds, enfin pour les jambes. Un bon fauteuil, moderne hélas mais confortable. Allez je m'y remets... Et chez vous le bureau ?  Grâce à vos commentaires on aura peut-être ...Un p'tit plus pour le tout !

C'est la Saint Valentin !

Bonne fête aux amoureux ! Qui a dit ? L'amour c'est comme au restaurant, dès qu'on est servi on regarde dans l'assiette de l'autre Sacha Guitry bien sur ! On est au troisième siècle après JC, Claude 2 médaille d'or des tyrans, peine à recruter de la chair à canon, les p'tits gars de la troupe préfèrent manifestement rester auprès de leur belle. On ne badine pas avec la guerre, Claude interdit le mariage. Mais dans le secret Valentin le prêtre continue à célébrer les unions, il sera arrêté et bien sur exécuté ! Même les tyrans sont mortels, Claude laissera la place et Valentin sera canonisé et les amoureux pourront s'envoyer.... des flêches tranquilles ! Autre version classée X : Au temps de fêtes païennes, on organisait un p'tit marathon sado-maso, les courses de Luparques, on se courait après tout nu, on fouettait les filles et on se servait l'amoureuse de son choix. Les autorités chrétiennes de l'époque ont souhaité faire un ...

La moustache - Maupassant 1883.

Si, comme moi, vous aimez Maupassant, écoutez France Culture  cette semaine et vous comprendrez mieux pourquoi. Maupassant les contes grivois par Eric Bordas Aujourd'hui Maupassant fait parler une fille :  la Moustache de l'érotique à l'identité française... Ma chère Lucie, rien de nouveau. Nous vivons dans le salon en regardant tomber la pluie. On ne peut guère sortir par ces temps affreux; alors nous jouons la comédie. Qu'elles sont bêtes, ô ma chérie, les pièces de salon du répertoire actuel. Tout y est forcé, grossier, lourd. Les plaisanteries portent à la façon des boulets de canon, en cassant tout. Pas d'esprit, pas de naturel, pas de bonne humeur, aucune élégance. Ces hommes de lettres, vraiment, ne savent rien du monde. Ils ignorent tout à fait comment on pense et comment on parle chez nous. Je leur permettrais parfaitement de mépriser nos usages, nos conventions et nos manières, mais je ne leur permets point de ne les pas connaître. Pour être fin...